"L'esthétique des œuvres de Jean-Luc Herman tient d'une ineffable beauté. Elle n'est certes pas un ordre, mais encore moins un désordre. Elle tiendrait d'un certain bonheur inexplicable,
d'une harmonie un peu instable, fragile, en tous cas libre, indescriptible. Elle est légèreté et non-violence, elle est douceur et intense générosité. Elle se confond avec l'éthique qui la guide
et la conduit vers la transparence et la translucidité... "
Claude LORENT
1971, 24 x 32 cm
1971, 10,5 x 22,5 cm
1971, 60 x 50 cm
1976, 14 x 27,5 cm
1976, 65 x 50 cm
1979, 97 x 67 cm
1979, 97 x 67 cm
Aquarelle
1978, 30 x 11,5 cm
Tempera sur toile
1984, 130 x 97 cm
Reflets
Huile sur toile
1984, 130 x 97 cm
Huile sur toile
1984, 130 x 97 cm
Bleu monacal
Huile sur toile
1986, 162 x 130 cm
Acrylique sur toile
1992, 100 x 190 cm
Acrylique sur toile
1992, 130 x 180 cm
Acrylique sur toile avec texte Bété de Frédéric Bruly-Bouabré (Côte d'Ivoire)
2004, 180 x 120 cm
L'amour qui entretient la fraternité est le symbole du Paradis Terrestre,
C'est cet amour qu'on souhaite voir entretenir l'Humanité.
Lavis sur papier chiffon
1993 - 2007, 70 x 50 cm
Pastels sur papier chiffon
2005, 33 x 25 cm
Pastels sur papier chiffon
Marouflés sur toile
2006, 70 x 44 cm
Lavis sur papier
2000 - 2008, 76 x 50 ou 65 x 50 ou 65 x 38 cm
Suite de 8 lavis sur papier chiffon
Partitions de Jean-Yves Bosseur
2000, 70 x 50 cm
Feutre
Un carnet à spirale 16 x 10,5 cm, chaque page datée 1989 et signé
Deux carnets Moleskine 14 x 9 cm, première page signée pour chacun
Rien ne s'impose
"Depuis 1994, les voiles de Jean-Luc Herman ponctuent l'espace de leurs grandes plaques chromatiques aux variations subtiles, dessinant des déplacements, désignant des étapes. L’œuvre tient dans le presque: presque monochrome, presque transparente. Rien ne s'impose, rien ne se retire non plus tout à fait. L’œuvre se déploie dans un balancement, ondulant au gré du souffle du visiteur capturé, ou du déplacement rapide de celui qui cherche toujours ailleurs ce qu'il ne trouvera jamais nulle part. S'il prend le temps de s'arrêter, le spectateur est happé par un espace-couleur-lumière. Le jeu incessant des pigments - encres liquides transparentes - avec les fibres irrégulières des supports - un intissé polyester - agit comme un filtre entre le regard et le monde : si l'on retire le voile, le monde se retire également."
Olivier Delavallade, in La Vie, 20 novembre 2003
Tissu polyester
1995 Tour du roi René, Marseille
2002 Sainte-Tréphine - l'Art dans les chapelles, Pontivy
2003 Saint-Pierre des Minimes, Compiègne
2013 - 2014 Espace Saint-Antoine, Musée de la Vie Wallonne, Liège
265 x 150cm